II. Замените выделенные слова местоимениями - прямыми дополнениями и правильно поставьте их в предложениях.
1.Je veux écouter ces disques.
2.Est-ce que tu peux montrer ta collection de timbres à tes copains?
3. Il faut raconter cette nouvelle aux parents.
4. Elles viennent de lire ces bandes dessinées.
5. Pierre a commencé a' écrire son dossier sur Jeanne d'Arc.
6. Nous n'allons pas lire ces poémes.
даю 30
Bonjour! Permettez-moi de présenter ma famille. Tout d’abord je dois accentuer votre attention sur ma vision personnelle en ce qui concerne la famille. A mon avis, la famille ce sont les personnes très unies et, bien sûr, très aimables. C’est seulement dans la famille qu’on peut reçevoir des conseils inestimables pour tous les événements qui peuvent se passer dans notre vie.
C’est dommage que ce n’est pas tout le monde qui a la richesse de vivre en famille. Je crois qu’il est nécessaire d’aider souvent aux gens qui restent seules et qui ont manque de rélations familiales. Donc, mon opinion reste toujours la même: la famille c’est un genre d’une réunion qui occupe la place primordiale dans la vie de tout le monde.
Depuis sa plus tendre enfance, elle caressait un rêve extraordinaire: un jour, elle deviendrait un éléphant!
— Quand je serai grande, je serai un éléphant, et je travaillerai dans un cirque! disait souvent Aglaé.
— Tu ne peux pas devenir un éléphant, ma chérie, répondait à chaque fois sa mère. Les éléphants ont peur des souris, et toi, tu es une souris.
— Tu deviendras un très jolie jeune fille souris, disait son père pour la consoler.
— Non, répliquait Aglaé. Je ne veux pas être une jolie jeune fille souris. Les souris, c'est tout petit et tout moche. Je veux être un éléphant!
Ses frères et soeurs se moquaient d'elle:
— Toi, un éléphant ! Tu es à peine grosse comme une puce!
Mais Aglaé ne se fâchait pas: elle restait dans son coin et rêvait à son avenir.
Elle collectionnait tout ce qu'elle trouvait sur les éléphants, et sa chambre était tapissée d'affiches de cirque.
Aglaé avait une manie qui inquiétait ses parents: elle tirait sans cesse sur ses oreilles pour les faire grandir.
— Tu vas te faire mal, disait son père quand il la voyait allonger son nez devant la glace.
— Mais non, répondait Aglaé. Regarde comme il a déjà grandi!
Et elle se mettait à tirer sur ses oreilles.
Son père soupirait et sa mère levait les yeux au ciel. Quand son nez fut assez long, Aglaé se mit à barrir comme un éléphant. Toute la famille sursautait en l'entendant, et sa mère cassa une bonne douzaine d'assiettes. Aglaé reproduisait tous les numéros de cirque qu'elle voyait à la télé. Elle savait tenir en équilibre sur le fil à linge et danser sur une boule, sans jamais tomber.